LES CRITIQUES AUX MULTINATIONALES...
Dans cet aparté de la webquest
nous avons fait un travail de recherche sur le web, pour voir quelles ont
été les multinationales, parmi celles que les élèves
de notre classe ont l'habitude de consommer, qui ont été
critiquées pour des pratiques humaines et sociales de fabrication
et de commercialisation incorrectes.
Voici les résumés que
nous avons élaboré après notre recherche:
MULTINATIONAL NIKE
Nike est une nultinationale qui possède des
entreprises dans les pays du tiers monde. Parmi toutes les entreprises
de Nike c'est spécialement celle qui se trouve en Indonésie
qui a été critiquée.
L’organisation "Global Alliance for Workers and
Communities" dont Nike fait partie, a fait une étude sur neuf entreprises
intallées en Indonésie.
Les resultats de cette étude sont que l’entreprise
Nike est en train d'abuser verbalement de ses travailleurs qui de plus
sont obligés de travailler des heures supplémentaires non
payées.
Parmi les 4.450 travailleurs enquêtés
un grand nombre se plaint des conditions sanitaires des entreprises et
de la difficulté d'obtenir des congés maladies, maternité...L'entreprise
exigerait la signature de cinq médecins avant de donner un congé
maladie.
Ces dernières années Nike a été
très critiqué, à part l'Indonésie ses entreprise
au Cambodge ont aussi reçu de fortes critiques car il semblerait
que cette entreprise ferait travailler des enfants.
En réponse Nike a annoncé un plan
pour pallier tous ces problèmes et améliorer les conditions
de travail dans les 30 entreprises avec qui ils travaillent en Indonésie,
mais ceci ne serait resté qu'un procédé de bonnes
intentions.
http://www.transnationale.org
MUTINATIONAL GAP
La multinationale Gap, une des grandes compagnies
textiles, avait signé un contrat avec l'entreprise Mandarin International
au Salvador. Cette entreprise a traité ses employées sans
respecter un minimum les droits humains.
Fatiguées de cette situation, elles se s’ont
organisées pour défendre leurs droits qui avaient été
violés sauvagement. Dès que ces femmes ont commencé
à "bouger" elles se sont vues encerclées et surveillées
par des gardes de sécurité.
Face à ces critiques, l'entreprise Gap a
decidé de réaliser sa propre enquête. Selon eux l’entreprise
traite ses traivailleurs respectueusement, et ils respectent les lois de
façon acceptable.
Les critiques des organisations Internationales
des droits humains n’ont pas cessé de maintenir le contact avec
les femmes qui travaillent dans cette entreprise parce que Mandarin International
a continué à violer les droits de ses employés. Le
Comité International du travail des EUA a conseillé aux consommateurs
de la marque Gap de plus acheter leurs produits. Cette organisation a rajouté
que pour un travail identique des traivailleurs des EUA ou d'Europe reçoivent
une salaire trois fois plus élevé que dans les pays d'amériqie
centrale.
En Novembre de 1995 Gap a decidé de se faire
responsable des conditions de travail de Mandarin International: ainsi
ils supervisent leurs actions et font respecter les traités internationaux
des de droits humains.
Nonobstant des membres du comité international
du travail remarquent qu'il y a encore un long chemin à faire...
http://www.pangea.org/ropalimpia/16/cat/entre.htm
MC DONALDS
La majorité des 400 travailleurs qui produisent
les jeux destinés aux Joyeux Repas (happy Meal dans les restaurants
français) des Mc Donald’s n’ont pas encore 14 ans. La journée
de travail est de 16 heures tous les jours de la semaine et ils dorment
dans des chambres tout près de la manufacture.
Cette fabrique a été découverte
par le South China Post grâce à une information du Comité
Industriel Chrétien dont le siège est à Hong Kong.
Cette fabrique appellé City Toys est installé au sud de la
Chine. Les jeunes traivailleurs ont seulement deux jours libres par mois.
Le dortoirs sont très petits, sans services
sanitaires et les lits n’ont pas de matelas. Quinze personnes dorment dans
chaque dortoir. Certains travailleurs ont affirmé que comme certains
jeunes n’avaient pas l’âge légal pour travailler, alors ils
recevaient de faux documents d’identité. Beaucoup de jeunes ne veulent
pas travailler dans City Toys mais ils avouent que ce travail est nécessaire
pour maintenir leur famille.
Cette mutinacional non seulement emploie de très
jeunes gens, mais aussi leurs conditions de travail sont souvent inhumaines
car ils travaillent dans une atmosphère contaminée par les
vapeurs dangereuses des teintures. Quelques uns des symptômes que
ces jeunes souffrent sont: des crampes, les douleurs à la poitrine,
des maux d’estomac et de tête, des étourdissements permanents
de même que des infections broncopulmonaires, des diarrhées
et des parasites.
Le responsable de la direction internationale de
McDonalds s'est montré très surpris de cette critique qui
démontre que les jouets du Joyeux Repas sont commandés directement
en Chine. Il a declaré qu' il n’était pas au courant que
son entreprise, Mc Donald’s, faisait travailler des enfants.
Nonobstant, le gérent de McDonald’s en Suède
a dit que ses critiques sont totalement fausses.
Une autre critique qui est faite à McDonald’s
c'est celle d'être responsable de la destruction de la forêt
d’Amérique Centrale. Le journal "Attac" declare qu'il est
évident que la concentration de grandes propiétés
rurales pour le création d’animaux qui proporcionnent de la viande
pour ce marché, fait qu'il y ait un déchiffrement des forêts
de cette zone de notre planète.
http://attac.org
http://www.crc-conso.com/etic/condtravail.htm
NIKE ET ADIDAS
L'organisation internationale Oxfam a
dénoncé les mauvaises conditions des ouvrières des
usines que les multinationales Nike et Adidas possèdent en Indonésie.
Oxfam a fait une récherche dans
l'île de Java où les experts ont constaté que ces deux
multinationales concèdent deux jours de congé maladie, mais
sans salaire, quand leurs employées ont leur règle,et de
plus elles doivent le démontrer avec un certificat médical.
Andrew Hewett, le directeur de Oxfam Community
Aid Abroad, explique que le 80% des ouvrières ont entre 17 et 29
ans, et leurs conditions de vie et de travail sont très misérables.
Avec des salaires aussi bas, ces femmes se voient obligées de confier
leurs enfants à d'autres membres de la famille, car elles-mêmes
ne peuvent pas s'en occuper ni les prendre en charge.
Nike s'est défendu des critiques
faites par Oxfam. Cette multinationale considère que faire une enquête
sur le règlement auquel sont soumises 35 femmes de l'entreprise,
n'est pas un échantillon répresentatif car Nike a plus de
50.000 femmes qui travaillent chez eux.
Adidas n'a pas répondu à
la critique formulée par Oxfam.
http://es.news.yahoo.com/020307/4/1ucz4.html
DISNEY
Le comité chrétien de l'industrie
(CIC) a fait une étude à Hong Kong sur les conditions de
travail dans 12 usines sous contrat avec Disney.
La grande majorité des ouvriers/ères
sont jeunes, célibataires, de sexe féminin et migrants de
zones rurales des provinces intérieures. La plupart ont entre 18
et trente ans, bien que certains ont 16 ans.
Disney assure le respect des droits des
ouvriers dans les entreprises sous-traitantes en Chine et dans d’autres
pays; par contre le CIC a constaté que les violations que Disney
inclue sont : une durée excessive de la journée de travail,
des salaires de misère, des amendes déraisonnables, une mise
en danger sur le lieu de travail et des dortoirs dangereusement surpeuplés.
L'étude conclue que le code de
conduite Disney et le système de contrôle ont peu d'effet
pour les ouvriers/ères. Ceux qui avaient eu connaissance du code
et/ou avaient été interrogés par les enquêteurs,
avaient été souvent l'objet de menaces et d'information dans
le but de falsifier les rapports sur le travail ou des forces à
répondre aux questions des enquêteurs de manière appropriée
par la direction.
Dans ce contexte ont est arrivé
aux conclusions spécifiques.
En ce que concerne les salaires, la plupart
des ouvriers recevraient entre 49 US$ et 85 US$ par mois, compris les heures
supplémtaires; ceci correspond à moins du salaire légal
minimum. Dans les usines de jouets, la plupart des ouvriers étaient
payés de 37 à 61 US$ par mois. Beaucoup étaient payés
à la pièce et la plupart de leurs heures supplémentaires
n'étaient pas payés intégralement.
Il est aussi courant pour les usines de
payer les ouvriers avec un mois de retard, certaines ont 2 mois de retard.
Les horaires de travail vont de 13 à
17 heures par jour les sept jours de la semaine. Les ouvriers ne peuvent
pas refuser les heures supplémentaires et ils doivent travailler
la nuit.
Dans une usine, 24 ouvriers partagent
une chambre, dormant sur des lits superposés à trois étages,
cela crée un sérieux risque en cas d'incendie; en plus les
ouvriers doivent supporter la mauvaise odeur des peintures dans la section
d'aérosols.
Ils ont des amendes pour parler au travail,
arriver en retard, sortir sans permission, oublier d'éteindre les
lumières des dortois pendant la journée, etc...
La plupart des usines ne participent pas
au système de sécurité social en vigueur, déniant
ainsi aux ouvriers les bénéfices auxquels ils ont droit en
cas de retraite, accident du travail ou décès.
Il n'y a pas de liberté d'association.
La plupart des ouvriers ne savaient pas ce qu'est un syndicat, ne connaissaient
pas le code de conduite Disney.
Nous avons obtenu cette information moyennant
le suivant site web:
http://www.transnationale.org/sources/tiersmonde/zones_franches_
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