Au flanc de la pente abrupte
sur nos traîneaux, nous volons,
Nous chantons à pleine gorge,
Glissant vers le val profond.
Le froid rougit nos visages
Que bombardent les flocons
Nous soulevons des nuages
Etincelants, sous nos bonds.
Et plus nos träîneaux bondissent,
Plus l'argent vole dans l'air!
Puis tous les gars, par leurs pistes,
Remotent aux sommets clairs!
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